Le Covid, jusqu’aux confins du monde

Durement touché par la pandémie, la politique de Jair Bolsonaro menace les populations indigènes d’Amazonie, particulièrement sensibles et déjà dévastées, dans leur histoire, par les “maladies de blancs”.
Des organisations s’alarment des “conséquences génocidaires” de la crise. (...)

Etxalde : “Ensemble, devenons propriétaires pour décider de l’usage des biens!”

L’objectif d’Etxalde est de constituer progressivement un patrimoine immobilier commun en Pays Basque, c’est à dire un parc immobilier répondant aux besoins de logement de la population, des entreprises, des associations du Pays Basque.
Le coût du logement prend une part croissante dans les charges mensuelles des habitants d'Iparralde. Pourtant, des solutions définitives existent. L'une d'elle est portée par l'initiative Etxalde. Tout soutien à Etxalde est une avancée vers un logement pour tous ! (...)

Gurutzi Arregi

L’ethnologue biscayenne Gurutzi Arregi a rendu l’âme le 6 mai à l’âge de 84 ans, le Pays Basque perd un des piliers de sa culture.
Notre dette à son égard est immense. Sans son œuvre au sein d’Etniker, nous ne connaîtrions pas sérieusement ce qu’est la société traditionnelle basque, son mode de vie, ses structures et ses valeurs. (...)

1960 – 2020, des raisons économiques d’espérer

ENBATAk 60 urte - Patxi Noblia fondateur de Sokoa et co-fondateur d’Herrikoa - Quand surgit la naissance du journal Embata en 1960 (modifié en Enbata après la colère des étudiants basques de Bordeaux), quel était le visage de l’économie du Pays Basque français ? (Iparralde était un concept inconnu à l’époque).
Pour demain, certes, notre Zazpiak Bat semble toujours aussi loin au fur et à mesure qu’on avance, mais on a déjà l’Agglo Pays Basque, alors peut-être dans soixante ans… (...)

Tartaro s’est étonné…

●●● qu’un beau matin, plusieurs cités navarraises découvrent leur signalétique basque espagnolisée à coup de bombes aérosol.
Cette nuit-là, seules la police et l’armée chassaient le coronavirus dans les rues. Ils ont dû contracter le virus de l’art brut. (...)

Bihar

Jurgi Ekiza, euskal kantagintzako kide aktiboa, "Eta etorkizuna... hemen balitz?" proiektuarentzat sortu den eta konfinamendu garaian 4 egunez osoki etxean egin den “Bihar” kantuaren autore-musikagile-jotzaile-kantaria da.
Jarraian kantua entzuteko parada duzue, “Eta etorkizuna…” liburua hostokatuz. (...)

Coronavirus : Et si demain… c’était ici ?

C’est le livre du déconfinement en Pays Basque Nord. Réalisé la dernière semaine de cette longue période de confinement, le projet “Et si demain…” voit le jour ce lundi 11 mai. D’abord en format électronique, puis dès ce vendredi 15 mai, sous forme de livret papier distribué gratuitement dans les boulangeries, commerces divers, locaux associatifs et sportifs, et, dès leur réouverture, les bars du Pays Basque nord, avec un premier tirage de 5000 exemplaires.
Le projet "Et si demain..." est constitué d'un texte de Marie Cosnay et Txetx Etcheverry, illustré par les dessins de Magali Etcheverria, accompagné d'une chanson de Jurgi Ekiza et d'une postface d'Edgar Morin.(...)

Hau ta gero zer? (2)

Kovid 19-ak eragin dituen kalte eta oinazeak aipatu eta joan den hilabeteko Enbataren zenbakian, 2. parte hontan gobernu gehienen ezaxolkeria eta aintzin ikuspen falta aztertua izanen da.
Neke dela gezurrari egiaren itxura emaitea. (...)

Covid-19, mode Länders

L'Édito du mensuel Enbata - Version cocorico, le Français habite un pays béni, patrie des droits de l’homme, de la gastronomie et de la débrouille que le monde entier envierait. De l’extérieur, on appelle cela de l’arrogance nourrie du peu glorieux classement universitaire de Shanghaï ou de l’irrépressible appel à quitter l’Hexagone pour l’eldorado britannique des réfugiés confinés à Calais.
La seule comparaison qu’il accepte est celle avec son voisin et partenaire européen, l’Allemagne. L’analyse comparative de la présente crise du Covid-19, de part et d’autre du Rhin, relève d’un abîme. Le bilan en termes de contamination, d’hospitalisation, de réanimation, est accablant pour la France où on y meurt quatre fois plus. (...)