“Euskaraldiaz, herriz herri hizkuntza ohituretan eragin”

Heldu den martxoaren 17an, larunbatez, Ipar Euskal Herri mailako Euskaraldia ekimenaren abiatze ofiziala eginen da, goizeko 9:30etik 12:00etara, Itsasuko Sanoki gelan.
Euskaraldia, Euskal Herri osoan, herriz herri eta aldi berean gauzatuko den ekimen kolektiboa da. Euskal Herri osoko milaka eta milaka herritarrek 11 egunez (2018ko azaroaren 23tik abenduaren 3ra), euskaraz bizitzeko engaiamendua hartuko dute publikoki. (...)

“Libérons le Pont Saint-Esprit !”

Le mercredi 14 mars à 18h30 Place du Réduit, un rassemblement symbolique et festif est organisé pour la libération du Pont Saint-Esprit.
Un collectif d’associations (parmi lesquelles on trouve Bizi!, le CADE, Txirrind'ola,...) porte deux mesures simples pour améliorer la vie des gens et lutter contre le changement climatique. Il faut agir vite pour que ces propositions soient intégrées au projet de Tram’bus. (...)

Zeitgeist*

Les évènements de Catalogne suscitent une véritable incompréhension dans l'Etat français au sein des sensibilités démocratiques et progressistes.
Loin de dénigrer cette incompréhension, les abertzale doivent au contraire faire preuve de pédagogie auprès de ce large pan de l'opinion publique française. En insistant, notamment sur la dégénérescence démocratique de l'Etat espagnol à laquelle est confronté le droit à l'autodétermination. (...)

Hizkuntza txikiez

Occitaniera galtzen omen da denen erraiteko gaitasunik ez lukeelako: hara zer dion Michel Serres filosofo alta goxoak, bera Agen aldeko occitaniarra delarik.
Oker zabiltza jauna! Occitaniera frantsesa baino gehiago izan da luzaz, bereziki trubadurren arartez Europa mendebaleko literatura bizkortuz bere poesiaren berritasunaz. Baina behera egin du Frantziako erregeek, errepublikek eta errejimen politiko guziek bizi publikotik kanporatu dutenetik, Tolosako Lore Jokoetarik ere haizatuz Louis XIV.aren bisita baten kariara. Beste hizkuntza guziek bezala gaurko bizitza teknologikoari egokitzeko behar zituzkeen tresna guziez gabeturik atxiki du Frantziako estatu jakobinoak. (...)

Les lépreux modernes

L'Evangile de dimanche nous disait que Jésus était obligé de fuir de village en village parce qu'il avait touché un lépreux, ce qui était strictement interdit par la loi de Moïse, par peur de la contagion. Chez nous aussi les lépreux on été intouchables pendant des siècles : une porte et un bénitier leur étaient réservés dans nos églises pour éviter toute contamination.
Tout cela c'est de l'histoire passée, mais nous sommes toujours entourés d'intouchables. Il suffit de lire les journaux. Les lépreux modernes qui nous font peur sont les émigrés. (...)

Corse, on négocie

L'Edito du mensuel Enbata - "C’est une occasion manquée” déclare Gilles Simeoni, président de la Collectivité corse, suite à la visite officielle sur l’île, les 6 et 7 février, du président Macron. Certes ce dernier qui, candidat, avait à Furiani le 7 avril 2017 ouvert une avancée possible à la revendication insulaire, était cette fois-ci revêtu des habits du chef de l’Etat pour organiser le dialogue sur un rapport de force entre deux légitimités démocratiques, la sienne pour la France et celle, tout aussi récente, des élus nationalistes corses pour leur territoire.
La posture de Macron a donc assumé à la fois celle du pouvoir central, traditionnellement tutélaire, voire provocatrice, mais aussi celle du politique devant gérer au mieux la “question corse” à peine sortie d’une lutte armée. (...)

Retour sur une visite

Personne n'attend d'un président de la République française un soutien à la cause indépendantiste corse. Non pas que cela soit inconcevable, le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, le droit à la séparation étant reconnus internationalement, parfois défendus par les grandes puissances et ces droits s'étant exercés à de nombreuses reprises y compris en Europe ces vingt dernières années.
Le formatage des “élites” françaises ne prédispose pas à la compréhension de certaines problématiques. (...)

“Prendre conscience des leviers que représentent les monnaies locales”

Jean-René Etchegaray, Maire de Bayonne et Président de la CAPB répond aux questions d'Alda! sur l'Eusko. Eclairage sur l'intérêt de la ville de Bayonne tout comme celui du territoire Pays Basque d'être partie prenante de l'économie circulaire en soutenant cette monnaie locale.
D'autre part, des élus de premier plan ont signé l'appel «Oui à l'innovation !» proposé par l'association Euskal Moneta, et ont ainsi demandé à l'État de favoriser l'innovation que constitue les paiements en eusko par la Ville de Bayonne. Lors d'une conférence de presse organisée le samedi 3 mars à la Mairie de Bayonne, Euskal Moneta a révélé ce texte et la liste des premiers signataires (tous les élus locaux n'ont pas encore été sollicités pour signer cet appel, les autres élus seront contactés dans les semaines à venir). Un très large soutien des élus du Pays Basque à l'eusko et à la Ville de Bayonne se dessine. (...)