Milesker Patxi !

Réponse à Patxi Bergara suite à l'article «Finançons nos ikastola !». Tu l'as bien noté, en effet on a beaucoup parlé de Seaska à cette rentrée, et les élections approchant l'instrumentalisation de la question va encore aller grandissante...
Seule Seaska propose l'immersion, la seule pédagogie vraiment efficace sans l'aide d'une transmission familiale partielle ou totale. Nous aurions eu le choix si le service public proposait des établissements en immersion... Mais on ce n'est pas pour tout de suite ! Vu la difficulté qu'il y a à ouvrir de simples classes bilingues à parité horaire ! L'éducation est une compétence régalienne en France, et l'acte III de la décentralisation permet de centraliser un peu plus l'Etat le plus centralisé d'Europe...

Jean Haritschelhar universitaire

Agrégé d’espagnol, le versant universitaire essentiellement consacré au service de l’euskara, donna à Jean Haritschelhar une position singulière. 
A son indépendance d’esprit, la rigueur de sa thèse sur Topet-Etxahun, son engagement dans le réseau de brillants défenseurs des langues minoritaires et la publication de 400 contributions scientifiques, Jean Haritschelhar ajouta une collaboration fidèle à Enbata. Xarles Videgain, professeur des universités retrace ce parcours somptueux. 

Zordun gaituzu

Jakes Abeberri-rekin eta Jean-Louis Davant-ekin hasten ditugu Jean Harischelhar kultur, unibertsitate eta politika gizonak Euskal Herriaren eraikuntzari eskaini dituen ekarpenei buruzko lekukotasunak.
Jarraian atxemanen dituzuelarik Urriko Enbataren bi Sar Hitzak: «L’homme et la politique» eta «Baigorriko haritza»

Finançons nos Ikastola!

En cette rentrée des classes la question du financement des Ikastola a de nouveau été soulevée. Bien que je ne nie pas le problème, je reste toujours étonné de voir que certains s’offusquent (encore) du refus de l’état français de subventionner les établissements scolaires de Seaska.
L’Euskara n’est pas une préoccupation de l’état Français, mais la notre si. Donc agissons !

Ça c’est de l’info coco !

La presse hexagonale est coutumière d'articles sur le Pays Basque truffés d'approximations et de clichés.
Jean-Marc Abadie épingle l'édition estivale du Courrier International Spécial Pays Basque en s'interrogeant sur le supposé sérieux de l'hebdomadaire, propriété du groupe Le Monde.

La discrimination des élèves bascophones et du basque dans les lycées publics bilingues d’Iparralde

Tartaro s’étonnait d’année en année de ne pas voir d’ouverture de classes bilingues supplémentaires dans les grands lycées publics d’Iparralde. Au regard des effectifs croissants dans les écoles primaires où le basque est enseigné à mi-temps, il paraissait surprenant de ne pas voir l’émergence de classes bilingues supplémentaires dans les niveaux secondaires.
Maintenant, il comprend mieux pourquoi la situation de cet enseignement à parité horaire stagne et recommande fortement aux Inspecteurs en charge de l’enseignement du basque d’ouvrir plus grands les yeux et de sévir face à cette insubordination permanente. Tartaro conseille aussi aux parents de ne pas se décourager, de ne pas se laisser faire et de médiatiser ces pratiques discriminatoires.

Rene Cassin pastorala : Euskal kulturaren eguna

Pastorala bat Baionan ez da ohikoa eta bat baino gehiago harritu dituzke. Buhaminak eta Tuntuna taldeek pastorala maite dutelakotz dute gomitatu hein batean eta ere, horren ez egitea Baionarentzat huts bat baitzitzaien.
Ez da dudarik Sohütarrak, igande huntan, irailaren 15an, goizetik trenpu haundian etorriko direla, beren obra kar haundienarekin emaiteko, baitakite azken emanaldia duketela zortzi hilabete lan, errepika eta elgarren arteko kurutzamenduen artetik. Publikoarentat ere azken aldia daike, memento historiko eta azkar horren bizitzetzeko. Igande arte.