Ulertu

“Nos océans et vies versus leurs profits”

Surfrider Foundation Europe appelle au rassemblement du Mercredi 6 Avril, 17h30 à Pau. « Malgré les accords de la COP21 signés par 195 pays et l’Europe, les compagnies pétrolières font comme si cette planète n’était pas aussi la nôtre. Nos océans ne sont pas leurs produits et leurs profits ne valent pas nos vies ».
Stéphane Latxague de Surfrider Foundation Europe répond aux questions d'Enbata.info sur les enjeux locaux et globaux liés aux Océans.
Iritzia

Racines par-ci, racines par-là

Les souverainistes de tout poil, surtout de droite, en appellent sans cesse aux racines chrétiennes de la France. Mais où plongent exactement ces fameuses racines du peuple (?) français?
Que se passe-t-il donc avant les années 1500, 1400 ou même 1000 ? Doit-on donc considérer qu’il n’y a rien de significatif lorsqu’il s’agit de périodes que l’on connaît peu ou mal ? N’y avait-il aucune femme ni aucun homme dans l’hexagone que l’on appelle aujourd’hui France?
Iritzia

Roman d’une époque

Pierre Lodi avec son polar File Ramuntxo signe le roman d’une époque et son combat, le nôtre. Ce tableau d’un certain Pays Basque en lutte en dit plus long et mieux qu’une pesante thèse de sociologie politique.
Un petit chef d’oeuvre.
Iritzia

Dettes

Dans sa chronique du mois dernier, Pantxoa Bimboire traitait du déficit du budget français 2015. Pour compéter les chiffres de Pantxoa, en voici quelques autres. Selon les comptes publiés en janvier par le ministère des finances, le déficit budgétaire de l'Etat a été de 70,5 milliards en 2015, 4 milliards de moins que le déficit prévu dans la loi de finance 2015 (75,4 Md€).
Le service de la dette (le paiement des seuls intérêts sur les emprunts en cours) s'est élevé à 44 Md€ pour l'année écoulée. 44 Md€ payés par tout le monde et qui vont enrichir ceux qui ont de l'argent à prêter. 64% de cette somme (28,1 Md€) va à l'étranger, car 64% de la dette française est détenue par les étrangers (fonds de pensions, fonds spéculatifs, assurances, banques…).
Iritzia

EPCI : une question d’identité(s) ?

Peio ETCHEVERRY - Depuis quelques semaines les mots sont lâchés et les arguments commencent à s’affuter. De toute évidence, cet EPCI a des «fondements identitaires» ; comme le souligne un des opposants à la proposition du préfet, il s’agit même de «véhicule identitaire un peu foireux».
Quand le Biarritz Olympique s’étiquette Pays Basque, quand l’office de tourisme d’Anglet propose les « incontournables du Pays Basque » sur son site, quand certains des 45 maires signataires contre le projet d’EPCI unique revendiquent l’authenticité, les racines ou les particularités de «ce coin de France» qu’est le Pays basque, pourquoi l’identité ne pose pas dans ces cas-là de problèmes ? Quels sont les territoires qui ne reposent pas sur des identités ? Jusqu’à quand doit-on être mal à l’aise ou doit-on tomber dans un malaise quand il s’agit de parler d’un simple état de fait ?
Ulertu

HELEP-aren kontrako auzapezen argumentoen ahuleziaz

Prentsan diru publikoz ordainduak izan diren abisuak lagun, HELEP bakarraren kontra diren auzapezek hainbat argumento aintzinean emaiten dituzte beren proiektu alternatiboa den Metropoli Polo Arinduaren goraipatzeko.
Hara Batera plataforma herritarraren azterketa zorrotzaren bigarren zatia, MPAren aldeko argumento batzuren indar eskasa agerian uzten duena. Hots, Iparraldearen ezagupen instituzionalaren alde den hautetsiak medioak atxemaiten ditu, kontra denak aitzakiak.
Tartaro

Oui… mais non…

Dans l'interview "A Bayonne 3, le PS se positionne en faveur de l'EPCI Pays Basque" de Mediabask (27 mars 2015), Henri Etcheto, conseiller général socialiste sortant du canton de Bayonne 3, et candidat à sa réélection répondait "Oui!" à l'EPCI unique (considéré comme "un bon projet").
Lors du Conseil Municipal de la Ville de Bayonne du jeudi 24 mars dernier, sur l'EPCI unique, Henri Etcheto est le seul élu ayant changé d'avis entre le vote consultatif et le vote décisionnel, optant et argumentant pour le "Non!" à l'EPCI Pays Basque.
Iritzia

Bizi interpelle M. Olive, nouveau président de l’ACBA

BIZI! - Citoyens très soucieux d’une nouvelle mobilité en Pays Basque, nous assistons avec effarement aux manœuvres bassement politiciennes auxquelles vient de se livrer le nouveau président de l'ACBA qui a « viré » l'actuel président du syndicat des transports de l'agglo (STACBA) M. Jean-René Etchegaray pour prendre sa place.
Ce coup de théâtre n'est hélas nullement motivé par des raisons de fond, liées à l'indispensable mise en place d'une politique alternative de mobilité dans une agglomération où la majorité des émissions de gaz à effet de serre contribuant au dérèglement climatique sont causées par la question des transports. Il s'agit d'un minable règlement de comptes contre le maire de Bayonne, coupable d'être un partisan d'un EPCI unique pour le Pays Basque.