Parler pour ne rien dire…
Je sais bien que les divers événements tragiques de ce début d’année poussent à soutenir le droit d’expression dans toutes ses formes. Et je soutiens, bien évidemment, l’idée que les caricatures et les satires ont toutes leurs places dans cette expression et qu’elles sont souvent nécessaires à un processus de réflexion, soit par la provocation qu’elles produisent, ou la critique qu’elles véhiculent…
Mais il est aussi parfois difficile de rester fidèle à ses convictions. La «Lettre ouverte au président du Conseil des élus du Pays Basque» de Colette Capdevielle a provoqué chez moi cette difficulté que j’évoquais juste avant…