Tartaro s’est étonné…
●●● et réjoui que onze personnes aient pu être sauvées de leur yacht de luxe qui coulait au large de la Corse. Comme quoi il est possible de sauver des naufragés en Méditerranée.
●●● et révolté de voir le nouvel exécutif de Valencia en Espagne, aux mains d’une alliance droite/ extrême droite, modifier la réglementation et exiger, avec un effet rétroactif sur 4 ans, le paiement d’une redevance de 63 000 euros pour frais d’amarrage au navire basque Aita Mari qui sauve les migrants se noyant en mer. Le monde d’aujourd’hui : on sauve les riches et on fait payer les pauvres. (...)