Ulertu

“Bai!”-a indartu

Larunbatean, apirilaren 2an, Batera plataformaren deiari erantzunez ehunka herritar mobilizatu dira Ipar Euskal Herriko 4 gune ezberdinetan HELEP bakarraren aldarrikatzeko.
2016ko apirilaren 14an, ostegunarekin arratseko 18:00etan Baionako elkarteen etxean Euskal Herriko Garapen Kontseiluak antolatzen du foro partehartzaile bat beste aktore sozio ekonomikoekin HELEP bakarraren eztabaidatzeko aukera eskainiz. Jarraian, zuzenean izena emaiteko parada atxemanen duzue. Bai eta ere maiatza bukaera arte, 158 herri kontseiluek HELEP-aren alde ala kontra bozkatzen duten jakiteko manera.
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Uste gabeko zaplaztakoa

Evo Morales, hain maitatua den Bolibiako lehendakariak, konztituzioa aldatu nahi izan du aldi bat gehiago presidentetzarat aurkezteko. Jende galdeketa bat beti da arriskutsua. Hori ikasi du Moralesek bere kaltetan.
Hara huts egite horren zergatiak.
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“Nos océans et vies versus leurs profits”

Surfrider Foundation Europe appelle au rassemblement du Mercredi 6 Avril, 17h30 à Pau. « Malgré les accords de la COP21 signés par 195 pays et l’Europe, les compagnies pétrolières font comme si cette planète n’était pas aussi la nôtre. Nos océans ne sont pas leurs produits et leurs profits ne valent pas nos vies ».
Stéphane Latxague de Surfrider Foundation Europe répond aux questions d'Enbata.info sur les enjeux locaux et globaux liés aux Océans.
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Racines par-ci, racines par-là

Les souverainistes de tout poil, surtout de droite, en appellent sans cesse aux racines chrétiennes de la France. Mais où plongent exactement ces fameuses racines du peuple (?) français?
Que se passe-t-il donc avant les années 1500, 1400 ou même 1000 ? Doit-on donc considérer qu’il n’y a rien de significatif lorsqu’il s’agit de périodes que l’on connaît peu ou mal ? N’y avait-il aucune femme ni aucun homme dans l’hexagone que l’on appelle aujourd’hui France?
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Roman d’une époque

Pierre Lodi avec son polar File Ramuntxo signe le roman d’une époque et son combat, le nôtre. Ce tableau d’un certain Pays Basque en lutte en dit plus long et mieux qu’une pesante thèse de sociologie politique.
Un petit chef d’oeuvre.
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Dettes

Dans sa chronique du mois dernier, Pantxoa Bimboire traitait du déficit du budget français 2015. Pour compéter les chiffres de Pantxoa, en voici quelques autres. Selon les comptes publiés en janvier par le ministère des finances, le déficit budgétaire de l'Etat a été de 70,5 milliards en 2015, 4 milliards de moins que le déficit prévu dans la loi de finance 2015 (75,4 Md€).
Le service de la dette (le paiement des seuls intérêts sur les emprunts en cours) s'est élevé à 44 Md€ pour l'année écoulée. 44 Md€ payés par tout le monde et qui vont enrichir ceux qui ont de l'argent à prêter. 64% de cette somme (28,1 Md€) va à l'étranger, car 64% de la dette française est détenue par les étrangers (fonds de pensions, fonds spéculatifs, assurances, banques…).
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EPCI : une question d’identité(s) ?

Peio ETCHEVERRY - Depuis quelques semaines les mots sont lâchés et les arguments commencent à s’affuter. De toute évidence, cet EPCI a des «fondements identitaires» ; comme le souligne un des opposants à la proposition du préfet, il s’agit même de «véhicule identitaire un peu foireux».
Quand le Biarritz Olympique s’étiquette Pays Basque, quand l’office de tourisme d’Anglet propose les « incontournables du Pays Basque » sur son site, quand certains des 45 maires signataires contre le projet d’EPCI unique revendiquent l’authenticité, les racines ou les particularités de «ce coin de France» qu’est le Pays basque, pourquoi l’identité ne pose pas dans ces cas-là de problèmes ? Quels sont les territoires qui ne reposent pas sur des identités ? Jusqu’à quand doit-on être mal à l’aise ou doit-on tomber dans un malaise quand il s’agit de parler d’un simple état de fait ?