Lettre à un jeune abertzale 1-2

Manu Robles-Arangiz fundazioa et Eusko Ikaskuntza ont organisé une journée au Musée Basque de Bayonne à l’occasion des 50 ans du journal Enbata.
Lors de la table ronde qui a terminé cette rencontre, autour de Patxi Noblia, Jean-Louis Davant, Jakes Abeberry et Christiane Etchalus, la question d’un jeune abertzale est restée quelque peu sans réponse. Ellande Duny-Pétré tente aujourd’hui de lui répondre. Partie 1-2.

Lettre à un jeune abertzale 2-2

Manu Robles-Arangiz fundazioa et Eusko Ikaskuntza ont organisé une journée au Musée Basque de Bayonne à l’occasion des 50 ans du journal Enbata.
Lors de la table ronde qui a terminé cette rencontre, autour de Patxi Noblia, Jean-Louis Davant, Jakes Abeberry et Christiane Etchalus, la question d’un jeune abertzale est restée quelque peu sans réponse. Ellande Duny-Pétré tente aujourd’hui de lui répondre. Partie 2-2.

Finançons nos Ikastola!

En cette rentrée des classes la question du financement des Ikastola a de nouveau été soulevée. Bien que je ne nie pas le problème, je reste toujours étonné de voir que certains s’offusquent (encore) du refus de l’état français de subventionner les établissements scolaires de Seaska.
L’Euskara n’est pas une préoccupation de l’état Français, mais la notre si. Donc agissons !

Le Pays Basque, terre de mobilisation et d’alternatives

Dans une Europe marquée par la démobilisation et le fatalisme face aux crises économiques, sociales et écologiques, le Pays Basque fait figure d’exception.
Il y a longtemps qu’existe ici une dynamique de militance et de résistance au modèle dominant qui a permis la création et le développement des ikastolas, d'EHLG, d’Hemen Herrikoa, de l'Eusko…

Kateak

Esanahi asko dituzte kateek gizakiaren gogoan: preso hartzen gaituztenek eta askapenarantz garamatzatenak. “Kateak hausten dabilenari ez kendu mailua eskuetatik” abesten zuen Maite Idirinek; “Apur dezagun katea” kantatzen zuen Mikel Laboak.
Joan den astean, aldiz, Katalunian osatu zuten katea apurtu behar ez ditugunetako bat da, bere kulturari atxikia geratu nahi duen herri baten borondatea eta, determinazioaren lekukotasuna frogatzen digulako.

Ça c’est de l’info coco !

La presse hexagonale est coutumière d'articles sur le Pays Basque truffés d'approximations et de clichés.
Jean-Marc Abadie épingle l'édition estivale du Courrier International Spécial Pays Basque en s'interrogeant sur le supposé sérieux de l'hebdomadaire, propriété du groupe Le Monde.

La discrimination des élèves bascophones et du basque dans les lycées publics bilingues d’Iparralde

Tartaro s’étonnait d’année en année de ne pas voir d’ouverture de classes bilingues supplémentaires dans les grands lycées publics d’Iparralde. Au regard des effectifs croissants dans les écoles primaires où le basque est enseigné à mi-temps, il paraissait surprenant de ne pas voir l’émergence de classes bilingues supplémentaires dans les niveaux secondaires.
Maintenant, il comprend mieux pourquoi la situation de cet enseignement à parité horaire stagne et recommande fortement aux Inspecteurs en charge de l’enseignement du basque d’ouvrir plus grands les yeux et de sévir face à cette insubordination permanente. Tartaro conseille aussi aux parents de ne pas se décourager, de ne pas se laisser faire et de médiatiser ces pratiques discriminatoires.

Moins pire c’est mieux que pire

Un morceau d'été, c'était en Drôme provençale, au Puy Saint Martin, dans la rue du mois de mars 1962 (la rue des accords d'Evian et de l'anniversaire d'Isabelle), c'était chez Isabelle Damotte et Jean-Pierre Fourié.
Isabelle est professeur des école ; elle a publié en 2009 un beau livre, "On ne sait pas si ça existe les histoires vraies" puis un autre, "Frère", en 2011. "Frère" a reçu un prix de poésie, le prix des Yvelines, Isabelle a été invitée à participer à des salons, puis à accompagner dans l'écriture, dans les médiathèques, enfants et adolescents. Puis son inspecteur a refusé qu'elle exerce à mi temps.