On vit plus vieux, on doit travailler plus longtemps !

Si l’espérance de vie augmente, l’espérance de vie en bonne santé n'est en moyenne que de 63,1 ans et s'effrite depuis plusieurs années (augmentation de la souffrance physique et psychique au travail). Les meilleures années de la retraite sont entre 60 et 65 ans alors que ces mêmes années au travail sont les plus dures.
On voit bien que la question des retraites est un marqueur politique fort du projet de société défendu. Il touche à la question sociale centrale, à savoir, comment répartir de façon juste la richesse produite entre tou-te-s, comment organiser la solidarité entre générations et donc la cohésion sociale.

A Bayonne aussi

Les articles abordant la thématique des éco-quartiers se multiplient à l’heure actuelle et beaucoup d’exemples lointains nous sont proposés. Cette terminologie d’éco-quartiers mérite qu’on s’y arrête un instant.
Pour Martine Bisauta, maire-adjointe de Bayonne, il s’agit d’abord, de répondre à toute urbanisation nouvelle en prenant en compte les défis nouveaux: épuisement des ressources, pollution, transition énergétique, mobilité mais aussi la qualité du vivre ensemble.

Ça c’est de l’info coco !

La presse hexagonale est coutumière d'articles sur le Pays Basque truffés d'approximations et de clichés.
Jean-Marc Abadie épingle l'édition estivale du Courrier International Spécial Pays Basque en s'interrogeant sur le supposé sérieux de l'hebdomadaire, propriété du groupe Le Monde.

Spéculations en Corse

L'Edito du mensuel Enbata - Dans la torpeur de l’été, François Hollande s’est multiplié pour accréditer le sentiment d’un non-assoupissement gouvernemental de la France. A cet instant, venue de l’île de beauté, est montée une parole politique iconoclaste prenant à contre-pied l’activisme présidentiel.
Le 7 août, Paul Giacobbi, député radical de gauche et président de l’exécutif de Corse, provoquait un petit séisme en déclarant “limiter l’accès de la propriété foncière de Corse aux non-résidents”. Il entend ainsi réagir à la spéculation qui ronge l’économie de l’île, alimente la criminalité et rend impossible, par la flambée des prix, l’accession des insulaires à la propriété.

Démonstrations collectives

Peggy Kançal (déléguée au Plan Climat Région Aquitaine) et Françoise Verchère (co-présidente du CéDpa, le Collectif des élus doutant de la pertinence de l’aéroport Notre-Dame-des-Landes) participeront, avec près d'une centaine de conférencier-e-s à Alternatiba 2013 à Bayonne. Toujours militantes, elles témoignent pour Alda ! sur le parcours qui les amène à avoir actuellement des responsabilités politiques.
Grâce à cette interview croisée de Peggy Kançal et de Françoise Verchère le lecteur d’Enbata aura un avant-goût de tout ce qu’Alternatiba permettra de découvrir en une riche journée d’expositions, de stands, de projections, de démonstrations pratiques dans toutes les rues et places du Petit Bayonne.

La discrimination des élèves bascophones et du basque dans les lycées publics bilingues d’Iparralde

Tartaro s’étonnait d’année en année de ne pas voir d’ouverture de classes bilingues supplémentaires dans les grands lycées publics d’Iparralde. Au regard des effectifs croissants dans les écoles primaires où le basque est enseigné à mi-temps, il paraissait surprenant de ne pas voir l’émergence de classes bilingues supplémentaires dans les niveaux secondaires.
Maintenant, il comprend mieux pourquoi la situation de cet enseignement à parité horaire stagne et recommande fortement aux Inspecteurs en charge de l’enseignement du basque d’ouvrir plus grands les yeux et de sévir face à cette insubordination permanente. Tartaro conseille aussi aux parents de ne pas se décourager, de ne pas se laisser faire et de médiatiser ces pratiques discriminatoires.

Moins pire c’est mieux que pire

Un morceau d'été, c'était en Drôme provençale, au Puy Saint Martin, dans la rue du mois de mars 1962 (la rue des accords d'Evian et de l'anniversaire d'Isabelle), c'était chez Isabelle Damotte et Jean-Pierre Fourié.
Isabelle est professeur des école ; elle a publié en 2009 un beau livre, "On ne sait pas si ça existe les histoires vraies" puis un autre, "Frère", en 2011. "Frère" a reçu un prix de poésie, le prix des Yvelines, Isabelle a été invitée à participer à des salons, puis à accompagner dans l'écriture, dans les médiathèques, enfants et adolescents. Puis son inspecteur a refusé qu'elle exerce à mi temps.