Le maléfice du doute…
L’été 2018 a charrié avec lui un nombre effroyable d’évènements climatiques majeurs dont la compilation ne pourrait tenir qu’en plusieurs pages. La litanie de ces catastrophes, encore et toujours qualifiées de “naturelles”, parvient quotidiennement aux oreilles de tout le monde mais par contre au cerveau d’un nombre très limité de personnes.
Il faut réagir très vite et mettre en place un processus de résilience pour offrir à notre territoire des conditions plus compatibles de vie dans les années qui viennent. Je ne suis pas certaine que ce discours fasse un triomphe auprès des décideurs, encore empêtrés dans les vieux réflexes du siècle dernier et qui imaginent qu’avec quelques ingénieurs et un groupe du BTP on peut tout régler. (...)