Externalités négatives
La gestion de la crise sanitaire en cours ne tient pas compte d’un principe économique qui en augmente de fait le coût.
À la différence de la biosphère et du climat, la gifle que nous infligera la pandémie à la suite de ce déni n’attendra pas des décennies pour se manifester. Mais, comme pour la biosphère et le climat, celles et ceux qui souffriront le plus des conséquences du déni et du manque de volonté d’agir à temps sont matériellement les moins bien lotis pour y faire face. (...)