Le débat est revenu d’actualité en Pays Basque sud où Unai Parot, prisonnier d’ETA de nationalité française (jugé en Espagne dans la même affaire que son frère Ion et Jakes Esnal), vit aussi sa 32e année de prison, alors que selon la législation du pays, une détention ne saurait en principe, dépasser les 30 ans.
Le mouvement Sare, association de soutien aux prisonniers basques, a pris sa défense et s’est élevé contre la loi du 7/2003 qui autorise “une prison permanente révisable”, en d’autres termes l’allongement de peines dans “certaines conditions”. (...)