Kateak

Esanahi asko dituzte kateek gizakiaren gogoan: preso hartzen gaituztenek eta askapenarantz garamatzatenak. “Kateak hausten dabilenari ez kendu mailua eskuetatik” abesten zuen Maite Idirinek; “Apur dezagun katea” kantatzen zuen Mikel Laboak.
Joan den astean, aldiz, Katalunian osatu zuten katea apurtu behar ez ditugunetako bat da, bere kulturari atxikia geratu nahi duen herri baten borondatea eta, determinazioaren lekukotasuna frogatzen digulako.

A Bayonne aussi

Les articles abordant la thématique des éco-quartiers se multiplient à l’heure actuelle et beaucoup d’exemples lointains nous sont proposés. Cette terminologie d’éco-quartiers mérite qu’on s’y arrête un instant.
Pour Martine Bisauta, maire-adjointe de Bayonne, il s’agit d’abord, de répondre à toute urbanisation nouvelle en prenant en compte les défis nouveaux: épuisement des ressources, pollution, transition énergétique, mobilité mais aussi la qualité du vivre ensemble.

Reprise des M.A.E.

Les mandats datent de juin. Jokin ARANALDE et Aitor ZUBILLAGA ont été interpellés, relâchés, et renvoyés devant la Cour d’Appel de PAU pour des M.A.E. lancés par les juges espagnols. Ils ont finalement comparu le 10 septembre.
Jokin ARANALDE, 67 ans, à qui on reproche des faits remontant à 2002, sera fixé le 24 septembre sur son sort. Aitor ZUBILLAGA, 36 ans, pour des faits de 2008, saura le même jour si les Espagnols auront envoyé à la Cour le complément d’information demandé.

Spéculations en Corse

L'Edito du mensuel Enbata - Dans la torpeur de l’été, François Hollande s’est multiplié pour accréditer le sentiment d’un non-assoupissement gouvernemental de la France. A cet instant, venue de l’île de beauté, est montée une parole politique iconoclaste prenant à contre-pied l’activisme présidentiel.
Le 7 août, Paul Giacobbi, député radical de gauche et président de l’exécutif de Corse, provoquait un petit séisme en déclarant “limiter l’accès de la propriété foncière de Corse aux non-résidents”. Il entend ainsi réagir à la spéculation qui ronge l’économie de l’île, alimente la criminalité et rend impossible, par la flambée des prix, l’accession des insulaires à la propriété.

Démonstrations collectives

Peggy Kançal (déléguée au Plan Climat Région Aquitaine) et Françoise Verchère (co-présidente du CéDpa, le Collectif des élus doutant de la pertinence de l’aéroport Notre-Dame-des-Landes) participeront, avec près d'une centaine de conférencier-e-s à Alternatiba 2013 à Bayonne. Toujours militantes, elles témoignent pour Alda ! sur le parcours qui les amène à avoir actuellement des responsabilités politiques.
Grâce à cette interview croisée de Peggy Kançal et de Françoise Verchère le lecteur d’Enbata aura un avant-goût de tout ce qu’Alternatiba permettra de découvrir en une riche journée d’expositions, de stands, de projections, de démonstrations pratiques dans toutes les rues et places du Petit Bayonne.

Une raison d’Etat cynique et violente

Situation bloquée, mais Xabi Larralde n’entend pas pour autant que la gauche abertzale fasse marche arrière. Elle doit s’inspirer des modèles Flamand, Ecossais et Catalan.
"Ce qui est en train de se passer en Ecosse, en Flandre ou en Catalogne nous démontre que nous nous situons à un moment clé de l’histoire dans lequel l’activation de dynamiques sociales puissantes assises sur une accumulation des forces large ne nous a jamais autant rapproché de l’obtention du droit à l’autodétermination de nos peuples"

Quelle stratégie gagnante pour la collectivité?

Paris ne veut pas d'un cadre institutionnel pour le Pays Basque Nord par peur qu'il ne renforce le sentiment d'appartenance au Pays Basque, germe de "séparatisme" et par peur qu'il ne permette de tisser des relations structurantes avec les institutions du Pays Basque sud, germe de "réunification".
Si demain, par manque d'une institution spécifique à Iparralde, des élus, notamment des élus non abertzale, et des responsables socio-économiques se mettaient à rechercher certains accompagnements nécessaires du côté d'une institution nationale basque, alors là, oui, les signaux rouges s'allumeraient pour de bon du côté de Paris.

Fini besta!

Lanak denbora asko hartzen du gure bizietan, ez bakarrik ordu aldetik, baizik eta ere buru-hartzeak eta kezkak ezin nehurtuak direlarik. Lanak sortzen dituen min horiengatik ondorio batzuk jasaiten dituzte zenbat langilek, eritasunak, familiako arazoak edota erretretara heltzean akidura edota higaduraren ondorioak pairatzen dituztelarik.
Badakit, zenbaitzuk etsituak direla, jadanik aitzineko erretreten erreforma kari manifa eta mobilizazio asko izan zirela, deus irabazia izan zelarik. Baina zer, lantegian segituz deus ez balitz bezala hobe ote da?