Face à la bourgeoisie d’Etat

Le reniement de Mitterrand, l’esquive de Jospin et à présent le refus méprisant du gouvernement Hollande, jamais deux sans trois.
Que faire face à l’idéologie jacobine autoritaire des politiques français convaincus de nous avoir à l’usure ? Jean-Louis Davant, historien et essayiste, amorce une solution.

Ijitoak, Frantzia eta Europa

Errumania eta Bulgaria Europako Batasunean sartuz geroztik, etengabe eztabaidetan ari dira handik etorritako Ijitoen arazoak direla eta. Arrazoi osoa dute nomadek Europako Batasunak jendeen imigratzea onhartzen duelakoan oinharrituz, Europako Mendebaldera bizimodu hobe baten bila joaiten badira.
Frantziako legeak dionez, nomadentzako guneak prestatu behar dituzte udaletxeek, leku hoietan oinharrizko garbitasunari dagozkien baldintzak – ura, argi indarra, zabor bilketa – izan behar direla. Kanpamentuak suntsitu baino, beraz, zuzenago litzateke legea erabili eta errespeta araztea.

Berrogoi ta hamar urthez Enbata etxean astero

Les lignes qui suivent sont dictées par l'affection que je porte à ce vieil hebdomadaire lu pas à pas depuis quarante-huit ans. Pendant longtemps, j'ai pensé qu'Enbata constituait une bonne image de la question basque au nord.
Mais revenant de nombreuses années plus tard, venant vous saluer, j'ai pu constater qu'il y avait une autre vie qu'Enbata. J'avoue en avoir ressenti un certain dépit. C'est que j'avais compris le sous-titre “Hebdomadaire politique basque” au sens de “toute la vie politique basque”.

Lettre à un jeune abertzale 1-2

Manu Robles-Arangiz fundazioa et Eusko Ikaskuntza ont organisé une journée au Musée Basque de Bayonne à l’occasion des 50 ans du journal Enbata.
Lors de la table ronde qui a terminé cette rencontre, autour de Patxi Noblia, Jean-Louis Davant, Jakes Abeberry et Christiane Etchalus, la question d’un jeune abertzale est restée quelque peu sans réponse. Ellande Duny-Pétré tente aujourd’hui de lui répondre. Partie 1-2.

Lettre à un jeune abertzale 2-2

Manu Robles-Arangiz fundazioa et Eusko Ikaskuntza ont organisé une journée au Musée Basque de Bayonne à l’occasion des 50 ans du journal Enbata.
Lors de la table ronde qui a terminé cette rencontre, autour de Patxi Noblia, Jean-Louis Davant, Jakes Abeberry et Christiane Etchalus, la question d’un jeune abertzale est restée quelque peu sans réponse. Ellande Duny-Pétré tente aujourd’hui de lui répondre. Partie 2-2.

Finançons nos Ikastola!

En cette rentrée des classes la question du financement des Ikastola a de nouveau été soulevée. Bien que je ne nie pas le problème, je reste toujours étonné de voir que certains s’offusquent (encore) du refus de l’état français de subventionner les établissements scolaires de Seaska.
L’Euskara n’est pas une préoccupation de l’état Français, mais la notre si. Donc agissons !

Le Pays Basque, terre de mobilisation et d’alternatives

Dans une Europe marquée par la démobilisation et le fatalisme face aux crises économiques, sociales et écologiques, le Pays Basque fait figure d’exception.
Il y a longtemps qu’existe ici une dynamique de militance et de résistance au modèle dominant qui a permis la création et le développement des ikastolas, d'EHLG, d’Hemen Herrikoa, de l'Eusko…