Mineurs migrants : le Département 64 doit s’expliquer

Le 7 janvier 2019, l'association Bizi occupait les locaux d'Isard COS à Pau pour dénoncer les graves dysfonctionnements caractérisant l'évaluation de 2 jeunes orphelins guinéens menée par cet organisme pour le compte du Département 64. Le 11 janvier, Bizi demandait, dans un courrier avec accusé de réception à rencontrer, le Département 64 dans les plus brefs délais pour avoir des explications sur certaines accusations portées par cette institution contre l'un des 2 orphelins, Moriba Koivogui, scolarisé au lycée Cassin à Bayonne, et dont le sort sera scellé le 13 février par la Cour d'Appel de Pau. Dans le même courrier, l'association basque demandait également «des explications sur cette situation et sur l'attitude toute particulière du Département 64 face à cet enfant, depuis le début de cette affaire, à savoir depuis le moment où une dame de Garazi l'a amené à l'ASE 64 et l'a ainsi placé sous protection du Département 64. »
Sans réponse sur cette demande de rendez-vous, Bizi a décidé de se rendre malgré tout à l'Hôtel du Département 64 à Pau, rue Pierre Bonnard, ce jeudi 31 janvier à 11H00, bien décidé à avoir des éclaircissements sur cette affaire. (...)

Macron persona non grata au Pays Basque !

Ce mardi 18 décembre, Emmanuel Macron devait venir à Biarritz préparer le G7, sommet des États riches programmé en août 2019. Le Président des riches a apparemment compris qu'il n'était pas le bienvenu au Pays Basque. Il annule sa visite et se fait remplacer par Le Drian.
Le mouvement Urgence climatique et justice sociale Bizi! avait présenté 7 raisons de déclarer Macron "persona non grata" au Pays Basque. (...)

1200 personnes pour le climat à Bayonne

La matinée de ce samedi 8 décembre a été riche de mobilisations pour le climat à Bayonne, dans le cadre de la mobilisation internationale organisée à l'occasion de la COP24. Dès 10h00 1200 citoyen.ne.s, militant.e.s climat et Gilets Jaunes ont convergé vers la mairie de Bayonne. Cette première rencontre a vu le jaune et le vert se mélanger derrière des banderoles de type « Justice sociale et climat, même combat », « Si le climat était une banque, il y a longtemps qu'ils l'auraient sauvé » ou encore « Fins du mois et fin du monde, même combat ».
Ce rassemblement s'est poursuivi par une marche pour le climat qui s'est conclue devant le Château-Vieux, au moment où à une centaine de mètres de là, une autre action pour le climat venait tout juste de démarrer. Des activistes de Bizi étaient rentrés dans l'agence principale de la Société Générale pour... y faire le ménage, au milieu de la mousse et des sourires amusés, des banderoles appelant à une action non-violente géante le vendredi 14 décembre à Paris, à l'agence centrale de la Société Générale, boulevard Haussmann, à l'occasion du dernier jour de la COP24. (...)

Marche pour le climat : 150 000 personnes dans les rues

Collectif - Ce samedi, dans toute la France plus de 150 000 personnes ont pris part à la journée mondiale d’action pour le climat « Dans nos rues pour le climat ». Elles ont rejoint les centaines de milliers de citoyens qui, de Auckland (Nouvelle-Zélande) à San Francisco (Californie), en passant par Abuja (Nigeria), Ho-Chi-Min Ville (Vietnam), Bangkok (Thaïlande) ou encore Berlin (Allemagne), se sont mobilisés pour affirmer qu’il n’est pas trop tard pour agir et exiger des comptes aux décideurs et décideuses qui nous entourent.
Prochaines échéances entre autres, les 6 et 7 octobre prochains, plus de 30 000 personnes sont attendues à Bayonne pour l’arrivée du tour Alternatiba. (...).

Alternatiba 2018 à Bayonne : ça se précise !

Une nouvelle édition d'Alternatiba se tiendra ur Bayonne les samedi 06 et dimanche 07 octobre 2018. Organisée par près de 1 000 bénévoles en même temps que la session plénière du GIEC devant rendre public le rapport 1,5°C commandé en 2015 par la COP21, 30 000 personnes y sont attendues.
Elle constituera l'étape finale d'un Tour Alternatiba, gigantesque opération de sensibilisation au défi climatique, parti de Paris le 9 juin 2018, qui aura 5 800km, traversé 5 États européens et fait étape dans 200 territoires différents pour y offrir formations, conférences publiques et rencontres avec les associations, la presse et les élus locaux. (...)

Tokiko hizkuntzak suntsitzeko politikari ez!

Ikasturte bukaera honetako Brebetaren karietara 179 kopia ez dira zuzenduak izanen. Jean-Michel Blanqueren ministeritzak tokiko hizkuntzak suntsitzeko politika abian ezarri du. Konkurtsorako postuak murriztu ondoren, irakasle postuak ematea errefusatu ondoren, Jean Michel Blanquer-en ministeritzak tokiko hizkuntzetan idatziak diren azterketak mehatxatzen ditu orain.
Politika linguizida eta kolonial berri honen aurrean, Euskal Herria deitzen dugu bere haserrearen agertzerat ondoko egunetan, eta bereziki uztailaren 28an, Ipar Euskal Herrian gaindi pasako den Frantziako Itzuliaren etapa nagusian.(...)

De Bayonne à Hendaye, marche de solidarité avec les migrant·e·s

Les vendredi 13 et samedi 14 juillet, Bizi appelle à une marche vers le centre de rétention pour migrant.e.s d'Hendaye. Elle partira de la maison natale de René Cassin, rédacteur de la Déclaration universelle des droits de l'Homme de 1948, à Bayonne et se terminera à Hendaye devant ce que l'association altermondialiste basque qualifie de "prison pour innocent.e.s".
Bizi! appelle également à reproduire cette initiative le 14 juillet, jour anniversaire de la prise de la Bastille, dans toutes les villes de l'Hexagone abritant un centre de rétention administrative. (...)

La bataille continue, c’est le moment de soutenir l’Eusko !

Suite à la requête du Préfet des Pyrénées-Atlantiques, la Cour administrative d'appel de Bordeaux a décidé ce vendredi de suspendre la convention entre la ville de Bayonne et Euskal Moneta. Pour l'instant, la ville de Bayonne ne peut donc pas faire de paiements en eusko. Comme il s’agissait d’une procédure en référé, la décision du juge est en effet provisoire : la convention est suspendue en attendant que l’affaire soit jugée sur le fond, pour décider si la convention est légale ou si elle doit être annulée.
« Pour montrer notre détermination, votons tous pour l’Eusko dans le cadre de l’appel à projets “Mon projet pour la planète”, c’est un moyen très simple et très rapide de montrer face à l’État notre soutien massif à ce projet pour le Pays Basque, et cela permettra en plus à l’Eusko d’obtenir un financement de 100 000 € pour se développer. Votez et faites voter pour l’Eusko sur www.euskalmoneta.org avant le 11 mai, à la veille de l'Assemblée Générale d'Euskal Moneta qui aura lieu le samedi 12 mai à 9h00 à la Salle Lapurdi d'Ustaritz ! C’est la plus belle réponse que le Pays Basque puisse donner face à l’acharnement de l’État ! » (...)