80 ans de conflit
Il est temps que l’Espagne mette fin à sa loi d’exception, qu’elle revienne à la législation ordinaire, puis qu’elle s’applique, avec le concours de la France, à solder pour de bon la question des prisonniers et des exilés. Le jour de leur libération marquerait véritablement la victoire de la paix avec la fin du franquisme.
Pour autant le problème basque ne serait pas résolu, mais il pourrait être géré par des moyens normaux, sans risque de rechute dans l’explication sanglante.