Iritzia
LGV zer berri ? (2/2)
Contrainte par sa dette faramineuse de 52 milliards d'euros et un réseau ferré de proximité laissé à l'abandon au bénéfice de la construction de lignes à grande vitesse ruineuses, SNCF et son donneur d'ordre, l'Etat français, ont décidé de mettre un terme à la fuite en avant et de consacrer leurs maigres ressources à l'amélioration des déplacements ferroviaires du quotidien.
Dans cette deuxième partie de ma chronique, je reviens sur les éléments du dossier qui touchent plus spécifiquement à notre territoire. (...)