La France souffre du manque d’ETI (entreprise de taille moyenne), la typologie de ces entreprises n’est pas homogène (ni par rapport à l’Allemagne, ni par rapport au bon sens) et ses entreprises (petites et quelque fois grandes) sont soit sous capitalisées, soit soumises, par diktat de ses actionnaires, trop souvent des « hedge funds », à privilégier les dividendes par rapport aux réserves.
Néanmoins, leur participation au budget de l’Etat, en déficit chronique depuis « Giscard » est le pilier trop oublié du monde politique : la TVA collectée est plus de 4 fois l’impôt sur le revenu, les retenues sociales sont la garantie du chômage ou de la retraite, etc. (…)