Foncier, au pied du mur

Il y a un peu plus de vingt ans, un vieux niçois que je croisai à Sare m’exprimait la douleur de constater que ses petits enfants ne pouvaient plus se loger dans sa ville natale.
Je trouvais ça bien triste et avec la naïveté de mes vingt ans, je ne pouvais imaginer que ce phénomène nous rattraperait ici et que c’est à la même sauce que nos enfants seraient man-gés quelques années plus tard. (...)