Il fallait le faire…
Au son des makila, et derrière le cortège des élu-e-s qui a encore une fois démontré l’adhésion large de la classe politique à ce sujet, jeunes et moins jeunes ont défilé pour montrer leur colère et leur détermination. La capitale souletine n’avait sûrement connu telle affluence depuis longtemps.
Cette manifestation est à la fois la dernière étape d’un cycle qui se termine et le premier pas de la suite à donner à notre demande. Même si le chemin est long, notre dossier est parvenu jusqu’à Paris et la lettre du Premier Ministre constitue déjà une fissure que nous avons réussi à créer dans l’immense mur de l’indifférence auquel nous faisons face.