Lorsque je lis les justifications de certains députés pour expliquer pourquoi la proposition de loi de Paul Molac a été rejetée, je pense à un épisode de mon enfance lorsque mon grand-père maternel s’amusait à me faire croire qu’il était un amateur de limaces, de « loches», comme il disait en français, dans son français qui n’était pas celui de référence, mais du vrai français quand même.
Tentative de petite fable sur les promesses de loi sur les langues dites régionales et autre ratification de la Charte européenne.