Iritzia

Du plaisir à croquer

La Korrika ne se regarde pas, elle se vit. Et ne vit que par la participation active des coureurs.
Chacun-e choisit de donner ce qu'il/elle peut d'énergie et de sueur. Chacun-e choisit ses lieux, ses moments pour fournir son effort. Et la magie fonctionne. La symbolique du témoin transmis de mains en mains, la carte du pays de la langue basque qui se dessine jour après jour, un sentiment de solidarité aussi concret que joyeux.
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50 ans de lutte du mouvement abertzale en Iparralde

Aujourd’hui, le temps où les abertzale étaient taxés « d’Enbata Zikina » est définitivement révolu.
Le projet abertzale est maintenant un projet reconnu et crédible en Iparralde, et les dernières échéances électorales ont montré qu’il peut avoir l’ambition de constituer la troisième force politique ici. Cinquante ans de lutte ont transformé complètement l’approche de la société d’Iparralde vis-à-vis de problématiques que les abertzale ont été les premiers à porter.
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Sarkozy… les français en redemandent !

Ainsi, dix mois après avoir souhaité changer de chef, déjà lassés du régime minceur à base des salades débitées par François Batavia, les Français amnésiques semblent donc disposés à goûter à nouveau la tambouille insipide du chef à talonnettes.
Dans le combat politique, s’il n’est pas la règle, le cynisme peut s’avérer être une arme efficace. Aussi, en étant raisonnablement pourvu, il m’apparaît que puisqu’ils en redemandent il ne serait peut-être pas vain qu’on leur en redonne de la cuisine à la casserole, encore et encore, jusqu’à l’écœurement, jusqu’au vomi.
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Embata Zikina

C'était un autre millénaire. L’homme n’avait pas encore marché sur la lune.
Et pourtant, une poignée de femmes et d’hommes, de ce bout de terre, considéré-e-s comme des martiens, s’échinaient, à contre courant d’une société gaulliste aseptisée, à concevoir un autre idéal de vie, à faire montre d’un courage exemplaire en affirmant qu’un peuple et une langue méritaient de vivre.
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Continuer à travailler

Une énorme somme de travail a été accumulée par les abertzale de toutes mouvances et par d’autres basquisants, dans les divers secteurs d’activité. Le projet abertzale n’est plus «le canular du siècle» comme disaient les dirigeants de la police en 1963.
Par Jean-Louis DAVANT - Le mouvement a muté, il s’est enraciné, diversifié, ramifié, à l’image de la société basque : il est incontournable.
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Quelques réflexions bancaires

La totalité des Etats sont maintenant débiteurs des banques, car depuis plus de quinze ans, les Etats peuvent emprunter sur les marchés mondiaux pour financer leurs cycles annuels d’exploitation.
Cette situation les place en position d’être notés par les banques, tels des clients. Et, pouvant emprunter, sans trop de limite sauf celles fixées maintenant par des règles européennes, pour les pays concernés, un Etat peut se trouver dans une situation de risque vis-à-vis de ses échéances de paiement, s’il n’y a pas de garde fou…