L’Idéal ENERgétique mobilise !

I-ENER ou Iparraldeko ENERgia a vu le jour au printemps 2014 et s’inscrit dans la démarche européenne et mondiale de réappropriation citoyenne de l’énergie à partir d’initiatives nombreuses, locales et participatives.
Pour atteindre l’Indépendance ou l’Idéal ENERgétique, I-ENER fait un appel à compétences afin de créer, structurer et développer une société d’exploitation citoyenne, fonctionnant sur un principe coopératif porté et financé majoritairement par les habitants d’Iparralde.

Une étape vers la Collectivité ?

Suite à la présentation du Préfet aux Conseils des élus et de Développement, Bernard Causse, enseignant retraité, nous fait parvenir sa réaction.
« Il faudra que la Communauté, seule solution intégrée méritant l'attention parmi les propositions du préfet, si elle est choisie, soit une étape vers la Collectivité Territoriale.»

Culture et civilisation basques

Mikel DALBRET - "Lors de la présentation à la presse du livre "Dictionnaire de culture et civilisation basques" une des journalistes s’est étonnée de la mention de civilisation basque inscrite dans le titre".
"On peut répondre que la culture est ici la matrice d’appréciation de l’identité basque appliquée aux aspects et secteurs “culturels” qui la constituent, la civilisation étant celle des niveaux qualitatifs que l’on pourra le cas échéant comparer à ceux de différents domaines européens équivalents."

Il n’y avait pas de place pour eux

"Il n'y avait pas de place pour eux" ai-je lu dans l'Evangile de Noël. Ayant l'habitude d'actualiser l'Evangile, je n'ai pu m'empêcher de penser à nos anciens de l'ENA.
Est-ce au nom de la tradition de l'Eglise ou de la charité chrétienne auxquelles il leur plaît de faire référence ? Est-ce de par leurs décisions propres ? Il n'y a pas de place pour les ikastola dans des bâtiments communaux que l'on peut par ailleurs louer, en toute laïcité, même à un prêtre, en exercice ou pas. Seuls exclus : les ikastola.

Du Pays Basque aux Grandes Ecoles

L’éducation est au cœur de toutes les stratégies de construction de l’avenir. Elle prépare nos territoires aux mutations qui viennent, les équipe pour affronter les défis qui ne manqueront pas de se poser à eux. De notre capacité à porter les problématiques d’éducation dépend donc en grande partie l’avenir économique du Pays Basque Nord.
A la lecture des statistiques de poursuite d’études des lycéens du Pays Basque, un constat tout à fait paradoxal s’impose. Malgré de très bons résultats au baccalauréat, des résultats qui placent les lycées du Pays Basque dans le peloton de tête des résultats nationaux, le nombre des lycéens qui s’engagent dans un cursus sélectif en classe préparatoire ou en grande école est inférieur à la moyenne nationale.

Le changement, c’est pour quand ? Oui à la pollutaxe !

En suspendant l’écotaxe, le gouvernement a une nouvelle fois cédé aux exigences des lobbys industriels et routiers qui sont pourtant les premiers responsables de la crise sociale et écologique actuelle. En effet, cette suspension fait suite à l’autorisation de circulation des poids lourds à 44 tonnes accordée en compensation anticipée à l’écotaxe !
Cette écotaxe (ou plutôt cette pollutaxe) est pourtant plus nécessaire que jamais.

« Pau capitale du Béarn »

Nous avons largement autant d'atouts que nos voisins et amis Basques. Bâtissons, exploitons et jouons de nos différences. Nous serions gagnants dans tous les domaines : localisation du Béarn, solidarité, unité dans les décisions... Ce serait comme les retrouvailles d'une grande famille et il en résulterait une formidable envie collective de construire une société conviviale, sur la base de petites structures saines, efficaces, proches et au service des gens. Non ce n'est pas utopique un toit et du boulot pour tous ! Alors, nous n'aurions qu'une envie, nous ouvrir aux autres.
"Alors, nous, citoyens du Béarn, signataires de ce texte, appelons solennellement les gens de ce pays et particulièrement notre jeunesse magnifique, à faire émerger une mouvance pour développer enfin l'idée toute simple d'un avenir heureux ici et maintenant. Volem víver urós au pais."