●●● et réjoui que le premier amendement déposé par le nouveau député Peio Dufau contre les culbutes spéculatives dans l’immobilier, ait été adopté en première lecture à l’Assemblée nationale. C’est la double peine pour Devèze…
●●● qu’à son arrivée à la CAPB le lehendakari Imanol Pradales demande au président Jean-René Etchegaray “entiendes algo de castellano ?” et que ce dernier lui réponde “hobeto euskaraz“. Euskal Herrian (hobe da) euskaraz…
●●● que la presse parisienne estime la langue de Molière en voie de perdition au Québec parce que seulement 59 % des salariés montréalais parlent le français sur leur lieu de travail. Des chiffres qui font rêver en Euskal Herri.
●●● et senti happé 20 ans en arrière. Vingt gendarmes débarquant au petit matin pour arrêter chez eux deux militants accusés d’avoir bousculé le maire de Kanbo lors d’un conseil municipal… Il aurait suffi de les convoquer, mais, chef, ça nous démangeait sec, comme au bon vieux temps d’IK et d’ETA !
●●● et réjoui de la découverte en Navarre, dans une grotte près de Lantz, à deux pas d’Irulegi, d’une nouvelle inscription vieille de 2000 ans ; “ikae”. Proto-apologie de terrorisme ?
●●● en apprenant une des véritables raisons du changement de dates des fêtes de Baiona. Les meilleurs torero n’étaient pas disponibles pour Baiona et Mont de Marsan à la fois. Pour les cafetiers et les peñas non consultés, c’est l’estocade.