●●● …du lapsus de Peio Etxeleku qui, en séance de l’agglomération, a proposé « un amendement pour comploter… heu, compléter le texte ». Un lapsus qui trahit les intentions…
●●● qu’à St Malo, 30 % des logements soient en locations Airbnb, malgré un quota d’autorisation accordé pour trois ans, un par famille, refusé aux SCI et limité par quartiers. 500 dossiers sont sur liste d’attente et la crise immobilière s’amplifie. Selon une agence, « avec le confinement beaucoup de monde est arrivé, des Parisiens, des Rennais, avec le TGV, c’est rapide et pratique ». Ah l’effet TGV !
●●● que Philippe Neys, président du MEDEF Aquitaine et ex-élu de la CAPB, affirme que le positionnement des anti-LGV « risque de coûter très cher à notre économie locale, d’autant plus que cette LGV, c’est inéluctable, se fera un jour ». Philippe a le choix, il peut adhérer au PNV ou au PS !
●●● qu’une enseigne de fast food se réjouisse, dans une publicité, d’une « Mention très bien à l’euskara » en vantant les performances d’un burger « master basque ». Ils prennent Seaska pour un steak ?
●●● …que Claude Olive, maire d’Anglet et président d’Office 64, l’un des deux principaux bailleurs sociaux du Pays Basque, déclare au sujet de l’aménagement de l’éco-quartier des Quatre cantons à Anglet, confié à un promoteur privé : « Un bailleur social n’aurait pas été capable de sortir un projet avec ce taux d’innovation ». Même si ce bailleur social avait à sa tête un président plus innovant ?
●●● pas tant que ça, que de nombreux agents afghans ayant travaillé pour le services secrets français de la DGSE, soient abandonnés par Paris aux mains des Talibans depuis 2021. La France avait déjà fait le coup en Indochine avec les Hmongs et en Algérie avec les Harkis.