Hauteskundeak: EHBai-en emaitzak eta 2. itzuliko iritzia

9 thoughts on “Hauteskundeak: EHBai-en emaitzak eta 2. itzuliko iritzia”

1. Zergatik gutietsi gute kausitzeak? Egia da 3600 boz gehiago egin dugula; Bainan 300.000tarik 303.600 tarat pasatzea ala guk ein dugun bezala 12875tarik, 16385rat hupateza ez da betere gauza bera, nahiz kasu bat ala bestean 3600 bozen gorakada izan den; Gure punpea izigarria izan da : %28 gehiago egin dugu. Sei urtez HEREN BAT dugu irabazi. Harrigarria ere bada.
   Biba gu eta gutarrak
   Xipri

2. En fait EH Bai ne soutient au 2ème tour que ceux qui ont exactement le même programme qu’ eux, donc qui sont abertzale, donc qui auraient dû voter EHBai au 1er! Le serpent se mord la queue.
   Sanctionner Pereira OK, mais les deux autres circonscriptions!
   Sur la LGV, les migrants, l’environnement, la crise du logement,les positions sont proches.. Vous le reconnaissez. On n’ avance pas en s’ isolant. J’ espère que beaucoup d’ électeurs abertzale ne suivront pas les consignes d’en haut.

   1. Beaucoup d’électeurs abertzales iront bien sûr voter au deuxième tour pour la NUPES. Après je ne sais pas si nous (je fais partie de ces gens pour qui le choix évident est EH Bai au premier et NUPES au deuxième) sommes de vrais abertzales ! Par contre attention sur un point André : il n’y a pas appel à l’abstention par EH Bai mais absence de consigne de vote, les “consignes d’en haut” dont tu parles n’existent pas. Le vote NUPES n’est pas condamné par EH Bai. On aurait effectivement pu espérer une formule du genre “pas une voix pour les macronistes” mais bon, on revient de loin, après l’hystérie “anti jacobine” qu’a entretenue Enbata à l’époque des municipales…

      1. Ce ne fut en rien une “hystérie anti-jacobine”. Les articles étaient tous fondés, soit sur les propos publics des élus socialistes et communistes bayonnais que nous n’avons fait que rappeler ; soit sur des discussions avec des militants connus du PS à Bayonne.

         1. Mélenchon contre la Charte européenne des langues minoritaires ou traitant les écoles bretonnes Diwan de « secte » ; sa candidate locale qui nous ressert la position ressassée depuis 30 ans par le PCF sur l’enseignement de l’euskara dans le public ; à l’assemblée, le discours du député LFI contre la loi Molac ; la Nupes qui dans son programme veut abroger la loi obligeant les mairies à financer les écoles privées d’autres communes et qui veut « interdire les subventions extralégales des collectivités territoriales à l’école privée », donc met en péril les finances de Seaska ; une Communauté d’agglomération Pays Basque qui ne présente pas grand intérêt aux yeux de la candidate Nupes Sandra Pereira Ostanel. Pas très motivant tout ça pour mobiliser un électeur abertzale ou euskaltzale.

      2. Une certaine gauche française tente constamment le passage en force en alignant des candidats clivants pour soit disant faire une alliance. C’est ensuite un peu facile d’accuser les abertzale « de faire perdre la gauche » ou de les traiter d’hystériques.

3. Je ne me suis pas bien exprimé, tu as raison Jean Jo. Mais le ni-ni, certes un peu plus nuancé sur la question des programmes, revient à dire que les convergences doivent se faire sur la totalité du programme d’ EH Bai pour ne pas être sanctionné. Que M.Etcheto ou Mme Pereira le soient, d’ accord! Que M.Dubois ou Cécile Senderain qui est une abertzale de longue date soient mis dans le même sac c’est proprement scandaleux.

   Puisque tu reviens indirectement sur les municipales à Bayonne, il faut en effet rappeler que les abertzale ont contribué à faire élire un maire de droite ouvert certes, ET une majorité de conseillers de droite qui eux ne sont pas du tout ouverts et surtout tout aussi jacobins que M. Etcheto ou Mme Pereira. Là ils ont eu moins d’ hésitations.

   1. Je ne pense pas que les convergences doivent se faire sur la totalité du programme d’EH Bai. Les convergences seraient plus faciles si une partie de la gauche française n’était pas en pointe… contre les revendications des abertzales, vues comme anti républicaines. Si la gauche mélenchonniste (c’est d’elle qu’on parle aujourd’hui) acceptait un minimum de reconnaissance institutionnelle du Pays basque, si elle soutenait vraiment l’euskara, elle ne donnerait pas autant d’arguments aux abertzale centristes. Ce n’est pas de la faute des abertzale si le centre droit local est plus malin que la gauche française ! Gauche française centraliste et basquisme centriste se renforcent et se justifient réciproquement, tu le sais bien. Il faut faire un effort pour sortir de ce piège. Je vote NUPES au deuxième tour, et Egoitz U aussi d’ailleurs, ce qui met un terme au “scandale” dont tu parlais !

      1. Voila maintenant que les abertzale centriste sont responsables de se bordel !!
         Je suis abertzale social démocrate et en plus chose qui me rend encore plus horrible , je croit en Dieu . Le programme économique de Mélenchon est de la pure folie . Mais je te rassure , Macron a un bilan économique et gestion de l état plus que pitoyable ( balance commerciale négative , dettes qui explose , trop d institution qui ne servent a rien et de million de fonctionnaires bureaucratiques qui ne produisent aucunes matières marchandes , peu d investissement industriel ) .
         Donc je n ‘attend rien du gouvernement en place !
         Donc mon vote ira a Echaniz , bainan ene bihotza betiko Abertzale !!

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