●●● que Louise Cormier, urbaniste spécialiste en aménagement du territoire, rejette le statut de résident proposé par Nil Caouissin parce qu’« obscur » et invente l’histoire des « quatre grands parents basques pour avoir le droit d’acheter un logement en Pays Basque ». Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose…
●●● qu’un nouveau livre vante encore une fois « l’Album les années folles sur la Côte basque, le doux souvenir d’une décennie dorée ». Pour qui ? Pas pour les Basques. Ils avaient droit à l’émigration massive vers l’Amérique et les villes françaises, aux boucheries des deux guerres mondiales, au statut peu enviable de métayer ou de mutil, et à l’omnipotence de Jean Ybarnégaray !
●●● que le député galicien Néstor Rego (BNG) constate que le leader PP Núñez Feijóo, d’origine galicienne, ne porte pas d’oreillette pendant les discours prononcés en catalan et en euskara. « Je me réjouis de ses progrès linguistiques ultra rapides, il parle deux langues supplémentaires, avant même de parvenir à dire deux mots en anglais ». La méthode Puigdemont rend obsolète la méthode Assimil.
●●● que le député PNV Joseba Agirretxea voyant les 33 députés Vox quitter l’hémicycle pour ne pas participer au débat sur l’usage des langues au parlement, leur lance : « Ceux qui s’en vont sont ceux qui nous punissaient à l’école, ceux qui nous collaient des amendes, ceux qui nous envoyaient en prison parce que nous parlions en euskara !» Définitivement, les absents ont toujours tort… !