Tartaro s’est étonné…

●●● de la colère de la FDSEA qui reproche aux députés du Pays Basque d’avoir voté la censure du gouvernement Barnier. La droite soutient la droite et critique la gauche.
Finalement, le nouveau monde ressemble étrangement à l’ancien. (...)

Tartaro s’est étonné…

●●● que Max Brisson, à l’invitation de Sophie Voisin, conseillère municipale bayonnaise pro-corrida, déclare qu’il s’opposera fermement à l’interdiction des corridas aux mineurs de moins de 16 ans car "l’art taurin, c’est l’art de la vie".
Demandez donc aux taureaux ! (...)

Tartaro s’est étonné…

●●● que Claude Olive reçoive la légion d'honneur des mains de Michèle Alliot-Marie, fraîchement condamnée à six mois de prison avec sursis pour prise illégale d'intérêts.
C'est la légion du déshonneur ! (...)

Tartaro s’est étonné…

●●● que lors de la présentation du baromètre économique, André Garreta président de la CCI appelle les chefs d'entreprises à se présenter aux élections pour peser sur les décisions de la CAPB.
Ce n'est certainement pas son vice-président Peio Etxeleku assis à ses côtés qui allait le contredire. (...)

Tartaro s’est étonné…

●●● que l’ex-roi Juan Carlos écrive ses mémoires. Y rappellera-t-il qu’il est parti vivre avec une de ses ex- maîtresses à Abu Dhabi dans une chambre à 10 000 euros la nuit ?
A ce prix, une suite royale on imagine. (...)

Tartaro s’est étonné…

●●● que Bruno Lemaire, autodéclaré basque d'adoption exilé en Suisse, offre un makila à son successeur pour l'aider à gravir les sommets des comptes publics.
Voilà ce cher Antoine Armand bien armé… (...)

Tartaro s’est étonné…

●●● que suite au coup de gueule de la FNSEA, le préfet des Pyrénées-Atlantiques annule la décision du Tribunal administratif qui restreignait de 25 % les prélèvements d’eau pour l’irrigation dans trois départements.
Dans les Pyrénées-Atlantiques, la FNSEA est vraiment comme un poison dans l’eau. (...)

Tartaro s’est étonné…

●●● et réjoui que onze personnes aient pu être sauvées de leur yacht de luxe qui coulait au large de la Corse. Comme quoi il est possible de sauver des naufragés en Méditerranée.
●●● et révolté de voir le nouvel exécutif de Valencia en Espagne, aux mains d’une alliance droite/ extrême droite, modifier la réglementation et exiger, avec un effet rétroactif sur 4 ans, le paiement d’une redevance de 63 000 euros pour frais d’amarrage au navire basque Aita Mari qui sauve les migrants se noyant en mer. Le monde d’aujourd’hui : on sauve les riches et on fait payer les pauvres. (...)