●●● que le Préfet écrive à neuf communes d’Iparralde afin d’interdire les panneaux de rue en euskara. On va plus savoir où on habite.
●●● et réjoui qu’au moins 35 communes d’Iparralde aient décidé de signer la Charte Européenne des langues minorisées. On peut dire que les élus locaux ne sont pas tombés dans le panneau !
●●● qu’un journaliste ukrainien s’indigne que Bernard-Henri Levy, “l’un des idéologues du bombardement américain de la Syrie, de la Libye et de la Yougoslavie” traîne son long manteau dans les rues d’Odessa accompagné de militaires et de photographes. Peut-être cherche t-il à reconquérir Arielle Donbass ?
●●● que dans le monde de la musique classique de nombreux virtuoses russes aient été privés de récital en raison de la guerre en Ukraine et que même la musique de Tchaïkovski a été déprogrammée un peu partout dans le monde. Il y aura toujours des casse-noisettes.
●●● qu’à Montréal, le virtuose russe du piano, Alexander Malofeev ait été interdit de récital, alors que le plat typique du Québec s’appelle “la poutine”. C’est la roulette russe.
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Tribune-federico-martin-aramburu-mort-parce-qu-il-a-defendu-ses-valeurs/1328552
« Assassiné parce qu’il s’est opposé à des idées extrémistes et fascistes. Non, la mort de Federico n’est pas un fait divers, une affaire de droit commun comme certains veulent le laisser entendre. C’est l’expression « d’un état de violence qui existe, que nous ne pouvons ignorer, que nous ne pouvons intégrer dans la vie quotidienne » (Emmanuel Mounier, philosophe français). « Fede » avait en lui les valeurs du Pays basque, du rugby, de l’humanisme.