Une semaine pour être plus efficace

Bizi et la Fondation Manu Robles-Arangiz organisent une semaine de formation intensive du jeudi 13 au jeudi 20 juillet à Donibane Garazi. Elle s'adresse à celles et ceux qui à un degré ou à un autre travaillent à construire un Pays Basque en transition, une société alternative, plus solidaire et plus soutenable, une souveraineté réelle à tous les niveaux. Elle est ouverte aux animateurs-trices de groupes de travail, de campagnes et de structures diverses, aux bénévoles et permanent-e-s associatifs désirant approfondir leur propre formation et expérience.
L'objectif est de former des militant-e-s capables de maîtriser toutes les facettes de la dynamique militante, de la conception des stratégies à leurs déclinaisons opérationnelles, et aux tâches d'organisation qui le permettent. (...)

Otsokop-en lehen Otsofest-a!

Otsokop kontsumitzaileen elkarteak gaur egun 400 kide pasa kondatzen ditu eta udaberri huntan denda edo epizeria bat ireki du Baionako San Izpiritu auzoan. Epizeria astean bi egunez irekia da eta kideek hor eros ditzazkete tokiko ekoizpenak, gehienak biologikoak eta prezio duinean. Hori posible da arartekolari guti baita ekoizle eta eroslearen artean eta ibilmoldea beren gain hartzen baitute kideek, bakoitzak hilabetean 3 ordu lan eginez kooperatiba gisa ari den elkartean. Otsokop epizeria baino gehiago da, kideen arteko harremanak laguntzen dituen leku bat, bestela kontsumitzeko parada eskainiz.
Jarraian, Kanalduderen erreportaia eta Joxet Otsokop kidearen zonbait ohar lagun, Otsokop-en ezagutza egiteko parada dugu, uztailaren 8an Otsofest-ean sakontzen ahalko dugunaena Baionako Gaztetxean 14:00etarik goiti.(...)

La voix des sans État

L'Edito du mensuel Enbata - Trois députés nationalistes corses à l’Assemblée nationale. Cela est tout aussi exceptionnel que la vague Macron chamboulant l’édifice institutionnel français. Trois élus sur quatre circonscriptions corses, c’est presque un grand chelem, d’autant que le quatrième candidat abertzale a raté l’accès au second tour pour 13 voix.
Il y a là la traduction de la percée à l’élection de l’Assemblée territoriale du 13 décembre 2015 qui, avec 35,34% des voix, avait porté les abertzale unis à sa direction. Cette percée n’était pas le fruit d’un gain de voix, mais l’addition structurelle des deux familles patriotes corses, les indépendantistes, qui longtemps soutinrent la violence armée du FLNC et des autonomistes dont Edmond Simeoni fut l’historique leader. (...)

Mirail faltsua

Enbata Hilabetekariko Sar Hitza - Jantzi dendetako mirailetako isla ez omen da zinezkoa: garen baino argalago erakusten omen gaituzte, arropa erosteko gogoa pizteko.
Mugimendu abertzaleak hauteskunde guztien emaitzak ospatzen ditu, beti aitzinekoak baino hobeak direlako. Frantziako azken bozetan ere bazuen balentriarik aski, Euskal Herria Bai bigarren indarra izatetik hurbil egon zelako, batez beste bozen %12 eskuraturik. (...)

Législatives en Pays Basque

L’abstention a été un peu moins forte en Pays Basque que dans l’ensemble de l’Etat français, qui a vu moins d’un électeur sur deux se rendre aux urnes lors du premier tour des législatives du 11 juin. Elle s’est encore aggravée au second tour. Malgré cela, le score d’Euskal Herria Bai (EHB) est en nette progression tant en voix, passant de 11.423 voix en 2012 à 12.665 voix en 2017, qu’en pourcentage, passant de 8,80% en 2012 à 10,42% en 2017.
A l’issue du premier tour, EHB est devenue la troisième force politique d’Iparralde, derrère la République en marche et Les Républicains. Suivent le PS avec 9,62%, la France Insoumise avec 9,01%, le FN 6,14%, les Verts 3,59%, le PC 1,75% et le PNV 1,17%. (...)

Poursuivre dans la dynamique

Les résultats des élections législatives ont réjoui tout le monde abertzale. Dans un contexte de très forte abstention, EH Bai a amélioré ses scores du scrutin de 2012.
Il convient de mettre tout cela en perspective pour l’avenir, en abordant à la fois l’actif et le passif. (...)

33.000 Navarrais changent de statut linguistique

Le parlement foral adopte une loi qui permet à 43 municipalités de la province de quitter la zone hispanophone et de rejoindre la zone linguistique mixte, euskara/espagnol.
La Navarre est divisée en trois zones linguistiques différentes définies par la loi forale de l’euskara de 1986 : une zone bascophone de 63 municipalités toutes situées au nord de la province, une zone mixte à hauteur d’Iruñea avec 55 municipalités, et une zone non bascophone au sud, avec 154 communes. Le statut de la langue basque en matière d’enseignement, de signalétique et de critères de recrutement des fonctionnaires des collectivités territoriales est différent selon les trois zones. (...)

Se soumettre ou… se soumettre !

Txomin DAVANT - Les tenants des « réformes courageuses » tellement attendues et « nécessaires » sont, comme c’était à prévoir, totalement satisfaits par les résultats de la présidentielle. Pensez donc, un Président élu avec 65% des voix ! Le soir de l’élection, on a pu voir sur un plateau de télé une fringante jeunesse porteuse du « renouveau » : MM. Gérard COLLOMB et François BAYROU ; selon ces deux là, tout est à la portée de leur poulain ; n’a-t-il pas réussi le pari que M. Valéry GISCARD d’ESTAING n’avait pu remporter : rassembler « deux français sur trois » !
Ainsi, avec une fraction minime d’électeurs, inférieure au cinquième du corps électoral, il est possible d’arriver à imposer des lois contraires aux intérêts légitimes de la grande majorité. On avait oublié que les institutions de la Vème République sont dangereuses. Les rédacteurs de la constitution auraient donc été irresponsables au point de donner à une seule personne le pouvoir absolu ? Sans contre-pouvoir ? Ils n’avaient pas lu L’esprit des lois ? Il serait donc urgent de corriger ce danger béant ? Et puis apparemment non. Le nouvel élu a dit qu’il n’y a rien à retoucher. Il se veut même jupitérien ? Où se trouve la vérité ? (...)

Tartaro s’est étonné…

●●● pas tant que ça, que constatant la présence du drapeau européen au Palais Bourbon, Mélenchon s'écrie: “on est obligé de supporter ça?”
Oui, c’est la punition pour avoir traité les Diwan de secte. (...)