Grande manifestation du 16 juin

Le collectif Bagoaz composé de 25 organisations appelle à se mobiliser le samedi 16 juin à 17h00 au départ de Lauga à Bayonne à la manifestation « Pas un jour de plus ». Cette formule n'est pas une menace mais une pression réelle de la société basque afin d’attirer l’attention des gouvernants, élus, juristes, journalistes sur les risques encourus par des prisonniers qui ont passé 28 ans derrière les barreaux, par leurs familles, etc.
Selon Bagoaz, il y va de la responsabilité de l’Etat français afin de traiter les dossiers de Xistor Haramburu, Jakes Esnal, Jon Parot et Unai Parot dans la loyauté du pacte social établi entre l’Etat et tous les citoyens et de ne plus engendrer le sentiment écrasant de se cogner à l’arbitraire ou pire à l’absurdité oppressantes qui sont des pratiques indignes d’un Etat de droit. La participation de tous et de toutes est indispensable à cette dynamique pour que le Processus de paix avance et pour que la situation des prisonniers évolue.(...)

Etnozidioaren konplizeak

Enbata Hilabetekariko Sar Hitza - Nafarroa Garaian euskararen kontra egin duten manifestazioak badu, bistan da, asmo elektoral bat. Urte baten buruan Foru Erkidegoko bozak dituzte, eta UPNk, PPk eta PSNk amesten dute oraingo gobernua hortik kentzea. Beldurra piztu nahi dute euskararik ez dakitenen artean, sinetsaraziz oraingo gobernuak zailduko diela lanerako bidea, euskararik ez badakite. Nafarroa Garaiko gehiengo zabala erdalduna dela erranez, “erdaldunen eskubideen” alde ari dira.
Demagogia hutsa baino anitzez larriagoa da. Funtsean, hizkuntza gutxitu baten kontra ari dira. Gutxiengoen –hobeki erran, minorizatuen– eskubideen kontra. Eta hori onartezina da, Giza Eskubideen Europako Hitzarmenaren arabera ere. (..)

La fin d’ETA

Dans le nécessaire travail mémoriel qui s'amorce au lendemain de la dissolution d'ETA, il ne faudrait pas occulter l'apport de l'organisation indépendantiste à l'histoire du Pays Basque. Car celle-ci n'aurait pas été la même sans ETA.
En conséquence, la reconnaissance de la souffrance des victimes des deux camps du conflit est indispensable à la réconciliation. (..)

Atekagaitzak

Zein aterabide izan dezake Katalunia eta Espainiaren arteko gatazkak, bi alderdiek gisa hortan elikatzen duteno?
Epe laburrean perspektiba politiko gutti, bainan, federalismoaren bidez edo, nolabaiteko aterabidea etortzen balin bada, Oriol Junqueras bezalako norbaiten ganik etorriko da. (...)

Le nouveau président catalan ne lâche rien (2/2)

Elu par le parlement, Quim Torra nomme des ministres incarcérés ou en exil. Il maintient la pression sur l’Espagne qui s’enferre dans sa logique répressive bafouant les règles élémentaires de la démocratie. Le PNV apporte son soutien au gouvernement de Rajoy bien que le statut d’autonomie des Catalans soit suspendu.
Sous la menace du calibre 155 braqué sur sa tempe, le nouveau président ne gouvernera pas vraiment, mais il maintiendra vivant le message exprimé lors du référendum d’autodétermination. Suite et fin de la première partie. (...)

Paradoxes et contradictions

Deux faits d’actualité récents, l’évacuation de la ZAD de Bure et l’abandon du projet Sud Mines au Pays Basque Nord ont mis en lumière des défis majeurs liés à des questions environnementales. Dans le premier cas, c’est la question des déchets radioactifs qui est posée. Dans le deuxième, celles des technologies de la transition énergétique.
Voici l’importance vitale d’une bonne justice écologique. (...)

Tartaro s’est étonné…

●●● pas tant que ça que Jean-Jacques Lasserre ait refusé d’aller à Arnaga le 3 mai pour ne pas accompagner ce mouvement “qui se poursuit en direction des idées nationalistes”.
Qui s’est aperçu qu’il n’était pas là ? (...)

Le nouveau président catalan ne lâche rien (1/2)

Elu par le parlement, Quim Torra nomme des ministres incarcérés ou en exil. Il maintient la pression sur l’Espagne qui s’enferre dans sa logique répressive bafouant les règles élémentaires de la démocratie. Le PNV apporte son soutien au gouvernement de Rajoy bien que le statut d’autonomie des Catalans soit suspendu.
Sous la menace du calibre 155 braqué sur sa tempe, le nouveau président ne gouvernera pas vraiment, mais il maintiendra vivant le message exprimé lors du référendum d’autodétermination. (...)

Après ETA…

Après la dissolution d’E.T.A., le secrétaire général du syndicat ouvrier ELA, Txiki Muñoz analyse les positions des camps en présence à Madrid et à Gasteiz.
Il en tire un certain nombre de conclusions à l’heure de définir quelle stratégie souverainiste on peut et on doit mettre en place en Pays Basque Sud. (...)