L'artificialisation a augmenté de 40% les 20 dernières années, soit 4 fois plus vite que la population. Ce rythme s'accélère fortement : on artificialise aujourd'hui l'équivalent d'un département tous les 7 ans, contre un tous les dix ans au début des années 2000.
C'est une des conséquences les plus visibles d'un développement (péri)urbain non maîtrisé, fortement consommateur d'espace et se traduisant principalement par la construction de maisons individuelles isolées. Nous nous sommes petit à petit écartés du modèle plus efficace, dit de la "ville compacte mixte" (mixité des onctions d'habitat, de services, des activités économiques, ...
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