Ulertu

Sous l’emprise du référendum

Les premières élections du Parlement écossais depuis le référendum d’indépendance de 2014 ont eu lieu le 5 mai dernier. Dans son numéro précédent, Enbata avait posé le cadre institutionnel et politique dans lequel ce scrutin s'est tenu.
Voici une analyse des résultats d'une élection qui s'est déroulée sous l'emprise du référendum sur l'indépendance.
Iritzia

Independentzia zertako?

Printzipioz, ideiaz eta sentimenduz, independentziaren alde nago jakina, euskal herritarren gehiengoak nahi duen ber.
Haatik Euskal Herria beregain ikusteko xantza guti dut, batetik adinagatik, bestetik gutieneko baldintzen betetzetik urrun gaudelako, bereziki Nafarroa Garaian eta Iparraldean.
Iritzia

Lehia burujabetzaren aldeko borroken artean?

Irudipena dut euskalgintza apur bat astindu duela independentziaren inguruko diskurtso berriak. Niretzat haize freskoa izan dena kezkagarria zaio zenbaiti, irrigarria besteri. Euskara alboratuko ote den, lurraldetasuna baztertu, historia gutxietsi…
Normala da, modu probokatzailean egin baita diskurtso berri hau, eztabaida pizteko asmoz. Helburua lortua.
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Anaphore

J’aurais tant voulu que Sarkozy soit réélu président de la république française en 2012. Son gouvernement aurait naturellement pensé à faire ce même type de projet de loi travail présenté aujourd’hui par un gouvernement dit de gauche alors que ce n’est qu’une “déforme” —que l’on taxe faussement de réforme— imposée par une caste très éloignée du salariat et ne représentant qu’une partie du PS.
Mais le mal est fait : c’est “la gauche” ici qui est incriminée et qui, sans aucune concertation et alors même que ce n’est absolument pas une proposition de campagne, détricote le droit du travail en facilitant un peu plus la possibilité de licencier et en faisant primer des accords d’entreprises sur des accords de branches que sont les conventions collectives, lesquelles protègent un peu plus les salarié(e)s que le droit du travail.
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Le mythe du chômage

La CCI vient de publier son bulletin semestriel. Très positif, et les chiffres s’alignent : en douze ans la population d’Iparralde a crû de 11%, soit 29.000 habitants, plus que l’équivalent de Biarritz, ce qui est énorme. Le chômage n’est que de 8,9% contre 9,8 en Aquitaine. On compte 139.000 emplois avec une croissance de 1,4% sur une seule année. On a construit 16.000 logements en 5 ans, plus de 3.000 par an. L’immobilier d’entreprise a crû de 117% en un an.
On se demande comment on peut parler de crise chez nous.
Iritzia

Septembre 2016

Kattalin Gorri - La Ceta (Accord Canada Europe) conclu depuis 2014 (le savions-nous ?) sera ratifié en septembre, par le Conseil européen. En vertu de cet accord il n’y aura pas d’obstacle pour le commerce avec le Canada. Là bas n’existent que les marques, pas les AOP. En plus le Canada ne veillerait pas à leur respect.
Quelqu’un pourra produire du jambon de Bayonne made in Canada ! Et le reste à l’avenant. Pas de droit de douane pour 75.000 tonnes de viande porcine et 50.000 tonnes de viande de boeuf canadien qui viendront bien sûr des fermes usines (3.500 vaches !).
Ulertu

Une belle victoire de la démocratie et du Pays Basque : Mobilisons-nous pour la célébrer et la préserver !

La Fondation Manu Robles-Arangiz appelle la population du Pays Basque à célébrer comme il se doit le vote historique des communes d'Iparralde au sujet de la création d'une Communauté Pays Basque Herri Elkargoa.
Pour cela, nous invitons tout le monde à se retrouver lors du rassemblement festif organisé par Batera le mercredi 27 juillet à 19h00 à Bayonne.
Iritzia

Pour un projet de territoire

La problématique du logement dans un Iparralde dont la population s’accroît rapidement par de nouveaux arrivants est un débat récurrent, y compris parmi les abertzale. Construire toujours davantage? Limiter l’urbanisation? Surtaxer les résidences secondaires vides dix mois sur douze?
Voici quelques réflexions.
Iritzia

Pourquoi ?

Roberto Moso, Zarama taldeko kantaria eta kazetaria - Baionako jaietan nengoelarik, joan den udaran, atentzioa eman zidan abertzaletasunaren ikurrak –edo mugaren alde honetatik halakotzat ulertu ditugunak– nonahi agertzen zirela. Areago: Euskadi deitura, hemendik nahiko ofiziala bihurtu dena, erraz ikus zitekeen ikurrina ugarietan eta jai-zapietan. Ikurrina, bide batez esanda, udaletxean zegoen gainerako banderekin batera, inolako eztabaida sortu barik. Hori bai, frantsesa eta gaztelania euskara baino askoz gehiago entzuten zen, izan ere bakarrik zenbait plaza talderen abestietan eta AEKko egoitzan entzun nuen.
Hala ere, informazio ahuleko bisitariren batek nahiko giro nazionalistan murgilduta geundela suma zezakeen, bertako hauteskundeetan horrenbeste igartzen ez dena.