La grande enquête de Bagira

Participe et donne ton avis ! C’est quoi être abertzale au XXIe siècle ? Quelles doivent être nos priorités ? Comment faut-il agir pour construire notre projet de société ? Quelles sont nos faiblesses et nos atouts ?
Tous les abertzale d’Iparralde sont invités par Bagira à donner leur avis lors d’une grande enquête qui va être lancée dans les semaines à venir d’Hendaia à Maule. (...)

Egunez egun…

1er avril : à Bayonne, la manifestation organisée par Se loger au Pays - Herrian bizi rassemble 3500 personnes à l’appel de 30 associations, syndicats et partis politiques. 1er avril : pas un seul dossier de demande de création de meublé touristique n’a été déposé à la CAPB depuis l’entrée en vigueur de la mesure de compensation il y a un mois (551 dossiers déposés en mars 2022). (...) 15 avril : l’eusko fête ses dix ans à Ezpeleta, il est devenu avec quatre millions d’eusko en circulation, la plus importante monnaie locale d’Europe. (...)
30 avril : le parti indépendantiste polynésien Tavini huiraatira remporte les élections territoriales avec 44,3 % des voix et 38 sièges sur 57. (...)

Nafarroaren Eguna 2023

Aurten ere, Basaizea elkarteak Kulturaldi berri bat prestatu du. Urte guziz, Baigorriko eskualdean, baina zabalago ere, jendea hitzordu horren beha da, Nafarroaren Egunarekin bukatzen dena. Kulturaldiak, edo denboran Kultur Astea deitua zenak, 1979 urtean sortu eta orain artio irauten du. Helburutzat du Baigorriko eskualdean forma ainitzetako euskarazko ekitaldien eskaintzea: ikusgarri, antzerki, kantaldi, eztabaida, gogoeta...
Hara aste honetako hitzorduak, eta apirilaren 30ean, igandearekin, Baigorrin iraganen den Nafarroa Egunaren egitarauari buruzko xehetasun guziak. (...)

Comment légiférer sur les langues régionales en France, le député breton Paul Molac explique

Le 8 avril 2021, l’assemblée nationale votait la loi “Molac”, ouvrant d’une manière non-expérimentale l’enseignement immersif des langues régionales et la création d’un forfait scolaire pour les écoles privées qui dispensent une scolarisation en langues régionales. Un an plus tard, le député breton Paul Molac à l’initiative de cette démarche, raconte par le menu la complexité de sa mise en œuvre dans le labyrinthe parlementaire.  Un exercice de haute voltige qui montre l’habileté et le courage d’un élu minoritaire parvenu à déjouer une multitude de chausse-trappes et d‘obstacles opposés par nos adversaires jacobins.
Voici l’intervention de Paul Molac invité en mars 2022 lors du colloque «Lazhkenelioù, un tabou e Frañs, ethnocides, un tabou français», organisé par Kevre Breizh et le Réseau européen pour l'égalité des langues ELEN, avec le soutien de l’Institut culturel de Bretagne, Skol Uhel ar Vro et de la Région Bretagne. Il s’est déroulé à l’Université de Bretagne Sud située à Vannes. (...)

Face à la crise du logement les réponses à Monaco, Londres, Toronto

La pression immobilière et la crise qui en découle sont encore plus fortes sous d’autres cieux. Henry Buzy-Cazaux, président de l’Institut du management des services immobiliers, présente trois pays qui mettent en oeuvre des solutions originales.
Voici le contenu de son intervention le 23 mars, lors de la rencontre organisée à Bayonne par le quotidien Sud Ouest et Entzun sur le thème « Demain, comment se loger au Pays Basque ? ». (...)

Gabi Mouesca : Jacques Gaillot, «à son écoute, on se réhumanisait en un lieu déshumanisant»

Mgr Jacques Gaillot est décédé le 12 avril à l’âge de 87 ans. Non conformiste et iconoclaste, il fut mis au ban de l’Eglise par le Vatican pour ses prises de position d’avant-garde. Affecté dans un évêché virtuel, celui de Partenia en Algérie, Mgr Gaillot devint « l’évêque, des autres, l’évêque des sans », sans papier, sans abri, sans droits, sans liberté, sans Etat, sans essais nucléaires, etc.
Devenu tête de Turc des milieux traditionalistes qui se sont déchaînés contre lui, l’évêque rencontra sur sa route nombre de militants abertzale et agit en leur faveur. Gabi Mouesca fut l’un d’entre eux, voici son témoignage. (...)

Egunez egun…

1er mars : la mesure de compensation votée par la CAPB pour limiter les locations saisonnières et favoriser l’offre de logement à l’année, entre en vigueur. À Bayonne, Alda fête cette victoire. 1er mars : Maider Arosteguy, maire de Biarritz, révèle qu’elle peine à recruter de nouveaux personnels du fait des prix trop élevés pour se loger dans le secteur privé et des logements sociaux peu nombreux. (...) 17 mars : le ministre de l’Education nationale Pap Ndiaye accepte que seuls les élèves de Seaska puissent rédiger en euskara l’épreuve de sciences du brevet. Les élèves des filières bilingues publiques et privées en sont exclus. Pour le baccalauréat, rien ne bouge. (...)
25 mars : le collectif Xuti Gazte manifeste devant l’agence Carmen immobilier de Biarritz en collant des affiches et en déployant une banderole contre l’essor des résidences secondaires, le petit nombre des logements sociaux et les difficultés des jeunes pour se loger. 25 mars : à l’appel d’EHBai, 70 personnes manifestent devant le Centre de rétention administrative d’Hendaye que la députée RN Edwige Diaz est venue visiter. Dans l’après-midi, 200 personnes manifestent à Bayonne où le RN organise une réunion. (...)

« L’eusko est devenuela plus importantemonnaie locale d’Europe »

Au cours de ses 10 années de circulation, l’Eusko a montré qu’il était bien plus qu’une monnaie. Un véritable réseau porteur de valeurs, un outil de solidarité locale, et un moyen de reprendre le pouvoir sur le devenir de notre territoire. Ce 15 avril, à l’Eusko Eguna d’Espelette, la monnaie locale du Pays Basque fêtera ses 10 ans au service du territoire.
En amont de cet important rendez-vous, Enbata a échangé avec Mendi Esteban, une des bénévoles fondatrices du projet et actuelle membre du Comité de Pilotage et Régis Eneriz, responsable événementiel et de la relation avec les associations. Une occasion de découvrir les forces, les raisons de la réussite et les projets d’avenir de l’Eusko. (...)

Corsica Libera tire à boulets rouges sur le gouvernement et la majorité territoriale

Dans un contexte de reprise de la lutte armée par le FNLC et de l’émergence d’une nouvelle organisation militaire Ghjuventù Clandestina Corsa (GCC), le mouvement abertzale de gauche Corsica Libera se montre très critique à l’égard de la négociation en cours entre le ministre de l’Intérieur et le président du conseil exécutif de Corse Gilles Simeoni. Après les dernières élections territoriales, celui-ci dispose d’une majorité absolue à l’assemblée de Corse où le poids de Corsica Libera, hier partenaire, est aujourd’hui bien faible avec un seul élu. Ce parti pèse peu dans les évolutions en cours, d’où sans doute son option en faveur d’un durcissement.
Voici le compte rendu que fait le site Corse Net info de la conférence de presse de Corsica Libera. (...)